Chère Zhor !
Tu as énormément donné au handball féminin, et tu es toujours au service de la collectivité. Tu as permis au handball de connaitre ses meilleures années. Ton absence n’est jusqu’à maintenant pas comblé.
Merci princesse
(Abdelhamid Gharbi – légèrement modifié))
C’est dans la douceur de la brise printanière del’air rafraichissant d’Amizour que Zhor Guidouche verra le jour un 30 avril 1954.
Aquelques mois du déclanchement de la révolution. Ce nouveau poupon ne se doutait pas qu’il allait devenir, deux décennies plus tardle plus doué de sa génération dans la petite balle, Pourtant le handballne semblait pas lui être prédestiné .Au CEG de Barnes (Air de France), il n’y avait pas que la pratique du handball, on faisait pratiquement de tout. So n prof .Bouhouche décela rapidement ses prédispositions pour le jeux à sept. Elle était alors en 5 éme.
Guiddouche ne tardera pas à faire valoir ses aptitudes .Sa sélection en EN cadette dès la première saison est une reconnaissance précoce de son talent naissant. Guidouche avait une deuxième licence en athlétisme et championne en javelot atteste de sa puissance physique, elle déclarerai plus tard « Ma force physique était tout à fait naturelle ;c’est un don de la dame nature ».
L’ARD avec Mohamed Essghir Djoudi sera l’occasion pour elle de parfaire son apprentissage. Deux ans plus tard le club sera dissous et Guidouche se consacrera pour un moment à ses études tout en s’adonnant à des footings réguliers et afin de maintenir la forme. Apresles championnatsmaghrébins ou elle n’a pas participé elle fut contacté par Mme Boukerroucha.F.Pour évoluer au NAHD.
En 76 lors des championnats d’Afrique des nations à Alger, son art atteindra son apogée. Sa roublardise, sa grande technique, sa vivacité, et sa puissance de tir la mettaient au-dessus du lot. Sameilleureconsécration fut en 1978 avec la médaille d’or aux jeux africains d’Alger. C’était plus belle année du handball féminin.
Sur conseil de son entraineur Djoudi, elle intègre le NADIT et sera plusieurs fois championne joueuse et entraineur après.
Elle décide d’arrêter sa carrière en1983.Et déclare « je regrette de ne pas avoir donnée plus à l’Algérie ».
Il y a de cela quelques temps, notre ami et frère Noureddine Benabed nous a quitté à jamais;
Nous demandons à tous ce qui l’on connut d’avoir une pensée pour lui ;
Ya rabi! Ya rabi! Ya rabi! Ya rabi!
Pardonne-lui et accorde-lui Ta miséricorde.
Exempte-le de toute charge.
Passe sur ses fautes et installe-le dans une demeure de générosité.
Fais que l'endroit de son introduction soit large.
Lave-le avec de l'eau, de la neige et de la grêle.
Purifie-le de ses péchés comme Tu purifies un vêtement blanc de toute souillure.
Fais-le entrer au paradis.
Préserve-le de la tentation de la tombe et du châtiment du Feu.

Zoheir Negli ; Ancienne gloire du handball algérien à Annaba..
Enfant de la Coquette, a marqué l'histoire du jeu à sept national. Immense gardien de but de sa génération, il formait le trio magique avec Hachemi et Farfar, qui pris part, pour la première fois, au Mondial allemand en 1974.
Agé aujourd'hui de 66 ans (il est né le 13 juillet 1948 à Aïn Beïdha), Negli est père de trois enfants. Il a débuté dans le handball au lendemain de l'indépendance puisqu'il vivait en Tunisie, et c'est au lycée Bardo de Tunis, en 1963, qu'il tapotait de ses mains une balle de handball à l'école. L'année d'après, il signait sa première licence cadets au sein de la formation Athlétique du Gaz de Tunis, avec laquelle il décrocha le doublé (coupe /championnat) de Tunisie. En 1965, il rentre en Algérie, et c'est avec l'USM Annaba qu'il va connaître le ״vestibule״ de sa carrière de handball national. Après une première année chez les juniors des Tuniques Rouges, il décroche, l'année d'après, le doublé national (coupe et championnat). Il est sélectionné pour la première fois en équipe nationale civile et scolaire.